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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 20:39

http://www.ecole-depouillee.net/squelettes/css/img/couverture.jpg

L'affaire ne cesse d'enfler, à tel point même que le ministre de l'Education nationale s'est vu contraint de réagir, dénonçant la mauvaise image que, selon lui, les profs qui ont participé à l'opération donnent de leur métier: j'ai une trop haute estime du professeur, de l'image du professeur, de ce qu'il représente dans notre pays et dans la République, pour accepter un tel dénigrement (...) Je suis choqué que l'on puisse porter atteinte à l'image même du professeur", a-t-il déclaré.

Il semblerait, en tout cas, que nombre d'internautes ne soient pas du tout de l'avis du ministre et que leur action destinée à appuyer leur Manifeste dénonçant le malaise général qui s'instaure de plus en plus dans l'Education soit plutôt populaire si l'on en juge aux 9236 signatures que cette pétiton a déjà attirées au moment où je commence à écrire cet article.

Il est vrai que rien n'est à retrancher de leur texte qui pose bien le sentiment général du monde enseignant sur la casse de leur métier et du sytème éducatif qui part de plus en plus à la dérive sous l'effet de réformes lancées à la va-vite, mal pensées, dont la mise en place n'est même pas cadrée et qui ont bien d'autres buts que pédagogiques.

Il n'est pas jusqu'au Haut-Conseil de l'Education qui dénonce les évaluations "trompeuses" du ministère pour faire croire à la réussite de sa politique et aux instances mondiales qui ne tirent la sonnette d'alarme sur le malaise français: http://blogs.lexpress.fr/l-instit-humeurs/2011/09/17/deux-rapports-tres-critiques-pour-la-politique-d%E2%80%99education-francaise/

Qui pourra sérieusement jurer que la disparition de l'histoire en terminale S, les bac pro réduits de 4 à 3 ans, la suppression de toute notation au profit de la seule évaluation par les compétences du socle commun, les heures de pseudo-soutien ou tutorat, le véritable saccage des programmes d'histoire et de géographie où raconter des histoires devient bien plus important que de comprendre l'histoire ( ex: la journée-type de Louis XIV  - rejeté en fin de programme de 5ème - est peut être intéressante d'un point de vue anecdotique et pour montrer comment le roi est en représentation permanente, mais poser comme savoir que l'élève doit être capable de faire le récit de cette journée royale type laisse songeur sur la conception de l'histoire par ceux qui ont fait ces programmes; autre exemple: en quoi savoir "raconter la capture, le trajet et le travail forcé d'un groupe d'esclaves" est-il de l'histoire ? Quel que soit l'intérêt de la question, les enjeux de mémoire qui se cachent derrière, l'horreur intrinsèque de l'esclavage, faut-il pour autant substituer à une réflexion sur le sujet le registre de l'émotion par un récit appelant plus l'élève à dramatiser qu'à poser un regard distancié ?) sont de nature à améliorer la formation des futurs citoyens dont les profs ont la charge ?

Oui, qui pourra sérieusement penser que l'avenir de l'école est là ?

Mais de cela, Monsieur Châtel n'en a cure: seules comptent les économies que l'on peut faire, la politique de communication s'acharnant sur les profs "responsables" - et qu'on pénalisera, à droite comme à gauche, par un surcroît de travail sans les payer plus - et le trucage des chiffres, digne d'un régime totalitaire, où des commissions dites d'harmonisation, sont priées de falsifier massivement les résultats aux examens pour faire croire à la réussite de la politique gouvernementale et acheter la paix des familles.

Et ce ne sont pas les projets pour l'école de l'opposition socialiste qui vont rassurer: dans leurs grandes lignes, ce sont les mêmes que ceux de l'actuel ministre quoi qu'ils en disent par ailleurs sur les ondes. Supprimer des postes reste leur priorité absolue, quoi qu'il arrive.

C'est dire si la situation de l'éducation est grave dans notre pays et s'il est plus que temps de réagir pour empêcher sa casse complète.

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2 septembre 2011 5 02 /09 /septembre /2011 21:11

http://www.digitalunivers.com/wp-content/uploads/2009/03/profs-t10.jpg

Comme certains le savent, aujourd'hui avait lieu la rentrée des profs. Un moment qui me rend de plus en plus nostalgique d'une certaine liberté perdue à chaque nouvelle reprise au fil des années qui s'écoulent comme si la "blessure" était un peu plus intense à chaque fois. Aussi, ce moment qui est toujours un peu un moment de paradis perdu et de replongée dans la mêlée est-il toujours un moment de déprime pour moi.

Sans doute s'accentue-t-il depuis quelques années, faute d'être en phase avec la façon dont évolue l'éducation nationale et les agressions dont elle est victime de la part des politiques de droite comme de gauche (quoi qu'en disent ces derniers - le dégraisseur de mammouth n'était pas UMP jusqu'à preuve du contraire -), avec les nouveaux programmes de ma matière dont je ne comprends ni le sens, ni l'intérêt, faute d'en avoir eu la philosophie ou l'éclairage nécessaire ou bien l'aide adéquate de ce que l'on nomme inspecteurs et avec la personne qui incarne pour la 4ème année consécutive l'autorité dans notre établissement et dont les initiatives pédagogiques comme la suppression totale de toute notation en 6ème ou le soutien indéfectible et l'adhésion à toutes les conneries à la mode - du développement durable aux petits-déjeuners solidaires en passant tout ce qui ne s'appelle pas cours - constituent autant de négations des valeurs et de la conception que j'ai de ce que doit être l'éducation.

Sans doute s'accompagne-t-il aussi d'une impression d'être systématiquement discriminé par rapport à mes collègues: bien qu'en poste depuis 10 ans dans le même établissement, je suis le seul des quatre à n'avoir toujours pas de salle unique malgré des demandes récurrentes, celui qui est toujours servi en dernier niveau matériels modernes, celui qu'on envoie quelques heures dans des salles non-équipées pour ma matière, comme cette année, dans la "nouvelle salle" au deuxième étage du bâtiment central alors que tous mes collègues sont au rez-de-chaussée du bâtiment C, nouvelle salle qui n'a aucun équipement (pas d'écran, pas de vidéoprojecteur, pas d'ordinateur, rien pour y accrocher une carte - on n'a même pas pensé à faire en plusieurs exemplaires la clé de sécurité qui ouvre la porte ce qui fait que je n'en ai même pas).

Comment peut-on même réaliser une "nouvelle salle" (ex-salle informatique reconvertie) sans penser à l'équiper ? Cela me sidère et témoigne d'un véritable mépris pour ceux qui ne sont pas "dans la ligne" de la maison.

Ah oui, soudain, parce que vous réclamez, vos collègues signalent ... on promet de faire si ou ça ... mais est-ce ainsi qu'on gère les ressources humaines de façon efficace ?

Et que dire encore de ce procédé qui consiste à vous enlever l'année suivante des élèves avec lequel le courant passait bien pour ne vous laisser que ceux avec lesquels la direction sait pertinement que ça va clacher ?

Je suis résigné, abattu, usé ... j'en ai marre que ne me considère pas comme moi-même et qu'on s'ingénie à chaque fois à mettre une différence artificielle entre moi et mes collègues pour me rabaisser.

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 20:02

Il était à peine six heures, ce matin, j'émergeais doucement, décidé à prolonger mon sommeil de quelques minutes quand soudain un son monta du bas: "il y a le feu dehors !"

Hum ? Quoi ? Le temps que ça fasse le tour du cerveau ... J'imaginais déjà qu'une maison devait s'être soudainement embrasée.

Que nenni ! Rideau levé, soudain je vis une immense flamme s'élever dans le ciel juste dans la rue d'en face alors qu'étrangement, tout restait calme et endormi dans les maisons juste en face de l'incendie. Une voiture et un fourgon-camionnette brûlaient. Le plus bizarre, c'est que parmi toutes les personnes qui ont pu voir l'incendie - et je pense en particulier aux automobilistes - seules deux personnes ont pensé à prévenir les pompiers: une qui les a aiguillé dans une mauvaise rue - à moins qu'il y ait eu deux incendies à un ou deux km de distance en même temps - , et nous ! Comme si bizarrement tous ces automobilistes avaient soudain oublié leur portable à la maison !

En tout cas, l'incendie éteint et la police arrivée rapidement sur les lieux, les traces en furent vite effacées: dès 7h30, les deux véhicules avaient déjà été évacués, comme s'il ne fallait pas que l'incident s'ébruite (et je suis prêt à parier qu'il n'y en aura pas une ligne dans la presse demain).

Vraisemblablement issues d'un casse et brûlées pour effacer toute trace d'empreinte, c'est avec discrétion que les auteurs ont agi, surtout à une heure où le jour se lève, mais c'est bien la première fois que je vois ce type de véhicule être abandonné non plus sur des parkings déserts, mais au sein même d'une zone d'habitat pavillonnaire et dans une commune qui n'était pas connue jusqu'à ces derniers mois*, pour sa délinquance, contrairement à sa grande voisine.

* Cela fait tout de même quelques mois que la casse se multiplie et que l'on voit circuler des bandes de jeunes de plus en plus louches et parfois très imbibés d'alcool, essayer de repérer les lieux et, sans en avoir l'air, essayer de "matter" l'intérieur des maisons, repérer où il y a des chiens ... l'incendie de ce matin ne fait que renforcer le sentiment d'insécurité qui s'est emparé de notre coin où plus personne n'est vraiment tranquille, moi y compris.

 

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12 juillet 2011 2 12 /07 /juillet /2011 12:20

http://verat.pagesperso-orange.fr/baudry_corday.jpg

Paul Jacques Aimé, Baudry, Charlotte Corday, Musée des Beaux-Arts, Nantes

 

Il était presque 4h00 du matin, je le sais parce que j'ai regardé l'heure. C'est curieux quand on y pense que mon premier réflexe fut de regarder l'horloge alors qu'on avait tenté de m'assassiner. 

Je rentrais tranquillement chez moi, accompagné de ma soeur et d'une personne qui était ma mère mais ne l'était pas tout à fait à la fois - en tout cas, j'eus conscience de l'étrangeté de la chose -, un "chez-moi" très inhabituel qui tenait d'une sorte de logis de corps de ferme.

Nous sommes arrivés de la cour intérieure devant une porte cochère fermée, à sa droite un escalier descendant vers la cave, à sa gauche un escalier montant vers "mon appartement". Je me souviens avoir quitté en bas des marches cette étrange dame à laquelle j'indiquais le chemin de la sortie - la porte et non l'escalier à droite qu'elle pensait emprunter de prime abord.

La laissant, ma soeur et moi montâmes le long escalier droit, au bout duquel une porte en bois peinte en gris nous attendais et nous eûmes à peine le temps de la refermer qu'un individu dont seule la calvitie me reste en mémoire, nous assaillit un couteau à la main. Il menaçait de nous exécuter si la personne qu'il pourchassait - un instituteur visiblement - continuait à refuser de sortir de l'endroit où elle s'était barricadée.

En effet, il faut imaginer derrière la porte grise que nous venions de franchir, un couloir s'ouvrant immédiatement, à angle droit, le long duquel se trouvaient un certain nombre de portes dont une inexplicablement ouverte qui devait être celle de l'instit.

C'est sans doute à ce moment que je pris conscience d'avoir considérablement rajeuni et que j'étais même retombé en enfance, à moins que ce ne soit quelques instants plus tard au moment où nous luttâmes contre le forcené. Toujours est-il - je ne sais par quel miracle - que je réussis à convaincre l'instit de sortir de sa cache, lequel apaisa le fou furieux avec je ne sais plus quelle promesse d'aller chercher je ne sais plus quoi et de le lui rapporter. Etrangement, l'homme au couteau accepta de le laisser sortir, quand soudain - la porte n'était point encore refermée - il comprit que l'instit irait plus certainement chez les gendarmes et sur un hochement de ma tête, se lança à sa poursuite. Nous eûmes alors le réflexe de claquer vigoureusement la porte, de tourner la clé et de fermer le verrou, de caler des chaises derrière aussi, car déjà le fou furieux se retournait contre la porte qu'il essayait d'enfoncer alors que nous étions dans un état de panique indescriptible qui redoubla quand vous le vîmes soudain tenter de passer par le vasistas resté ouvert qui surplombait la porte et que nous avions totalement oublié, sinon ignoré jusqu'à ce que l'homme y surgisse brusquement. J'allais pousser un véritable cri de terreur quand la peur me réveilla en sursaut au bord de l'apnée, juste avant qu'un cri véritable, celui-là, ne sorte de ma gorge.

Vous l'aurez compris, je pense, cette histoire est celle du rêve de cette nuit, même si elle m'embête un peu car c'est déjà la seconde fois, même si les circonstances étaient différentes, qu'on cherche à m'assassiner dans un de mes rêves en quelques semaines.

 

Par un étrange hasard, c'est aussi le 50ème billet de ce blogue

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9 juin 2011 4 09 /06 /juin /2011 21:48

http://membres.lycos.fr/dunedhel01/crystalxp/prof.png

 

Parmi les traditions qui m'insupportent le plus dans le collège où j'enseigne, figure la sacro-sainte présence dans nos murs, durant toute une journée, des différents élèves de CM2 du secteur qui deviendront très majoritairement nos futures 6èmes, accompagnés de leurs instits (ou plutôt professeurs des écoles devrais-je dire).

Quand vous avez la malchance que cela arrive un jour où vous avez des 6èmes à votre emploi du temps - et comme c'est bien connu, vous n'avez pas de programme à terminer -, on vous met vos chers petits élèves au repos et vous êtes priés d'accueillir dignement futurs élèves et instits et de les occuper pendant l'heure où vous deviez avoir vos élèves habituels ! Donc, après avoir un peu parlé du programme, de faire un cours pour qu'ils voient comment c'est ! Et sous le regard de ou des instits, bien évidemment ! Comme si, en fin d'année, je n'avais que cela à f... d'amuser la galerie (alors qu'on est dans la période la plus pénible et la plus épuisante nerveusement de l'année).

C'est encore plus comique quand, en plus, cela vous tombe dessus alors que votre heure se déroule dans une salle de math - surtout quand vous enseignez l'histoire-géo - et entre 11h35 et 12h30 !

Comme vous l'aurez compris, c'est donc avec joie, une joie immense et non feinte, que demain matin, je vais devoir encore subir cette corvée débile censée faciliter l'intégration de nos futurs élèves afin d'éviter qu'ils ne soient traumatisés à la rentrée. Les pov'choux ... déjà qu'on ne les notera plus parce que ça aussi, ça les traumatise et puis qu'une note c'est beaucoup moins objectif qu'une compétence, dixit les grands pompes de la pédagogie soixanhuitarde...

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3 juin 2011 5 03 /06 /juin /2011 15:49

http://eurekasophie.unblog.fr/files/2009/09/gargarisme.jpg

 

C'est un fait établi que certains, dans l'Education Nationale, manquent de la plus élementaire élégance et totalement d'humilité et de modestie et j'ai encore pu malheureusement le vérifier mercredi matin quand une collègue d'Anglais, au-delà de la manifestation de la simple joie, s'est crue obligée d'informer toute la salle des profs, en l'expliquant bien à haute voix pour bien écraser tout le monde de sa "supériorité" (supposée dirons-nous), qu'elle venait de sauter du 10ème echelon à la hors-classe sans passer comme le prof lambda par la case 11ème échelon et, jouant la fausse naïve, comme pour en chercher les raisons, nous expliquant benoîtement, que tout compte fait, cela était dû à ses compétences et à son grand dévouement au service de l'Education Nationale (plutôt l'art de se faire mousser avec des actions et activités pseudo-pédagogiques) - déjà qu'en temps ordinaire, elle a plutôt tendance à se prendre pour le nombril du monde et à considérer qu'elle seule est capable de bien faire, les autres étant tous des abrutis finis - mais alors là, c'était parfaitement puant et je me suis vraiment retenu pour ne pas lui dire de "fermer sa gueule".

La vérité est en fait beaucoup plus triviale et s'appelle un actif copinage avec les gens de la DATICE* qui sont aussi les mêmes qui peuplaient les ex-IUFM et qui peuplent les couloirs de l'Inspection Académique. D'ailleurs, il n'y a rien de plus énervant, notamment en formation, lorsque tel ou tel collègue se permet de tutoyer l'IPR qui est son grand copain ou sa grande copine !

Bref, se vanter de mérites que l'on n'a pas, alors que l'on a juste bénéficié d'un piston, était particulièrement déplacé, même si, depuis que notre nouvelle principale est en place, ce sont ces gens-là qui font la pluie et le beau temps chez nous.

Ne s'apprête-t-on pas à supprimer totalement la notation en 6ème parce que l'idée, testée dans une classe l'an dernier et proclamée solution d'avenir par cette dame et sa complice de SVT, elle aussi du DATICE* (comme par hasard !), notre chef d'établissement, toujours prompte à adopter la dernière connerie pédagogique à la mode, y a vu le moyen de se faire mousser elle-même? L'avis des autres profs sur la question n'a évidemment aucune importance, étant entendu qu'ils ne sont que de la merde à côté de ces deux "dames".

D'ailleurs, rares sont ceux qui osent l'ouvrir pour s'opposer à ces deux donzelles et la patronne par peur de représailles sur leur note administrative.

Il faut en prendre son parti, l'avenir appartient aux putes, même dans l'Education Nationale.


* DATICE: Délégation Académique aux Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Enseignement

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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 20:34

http://www.pharmacie-centrale.com/wp-content/uploads/2010/08/Fotolia_21990667_XS-304x250.jpg

Après ce repos forcé , s'annonce demain la reprise du boulot.

Cet incident me semble d'ailleurs de plus en plus lié à un problème de cervicales vu comme j'ai été coincé jusqu'à hier avec une douleur persistance du côté gauche de la tête redescendant jusqu'à l'épaule, et comme ça se décoince progressivement depuis avec des petits craquements.

C'est même très curieux, parce que sur le coup, mardi, je n'ai rien senti du tout et j'étais loin de penser à ça; c'est seulement le lendemain que la douleur est apparue.

Enfin bref, l'essentiel est de ne pas rester bloqué et d'éviter autant se faire que peut, trop de mouvements brusques demain pour laisser les choses se remettre progressivement en place.

J'en ai profité pour regarder la totalité de la dernière saison des Desperate Housewives, toujours aussi conservatrice dans ses valeurs, même si l'ensemble se laisse regarder. On y retrouve même un pov' gars rescapé d'une ancienne série à succès de tf1, Brian Austeen Green dans le rôle de nouvel amant de Bree Van de Camp.

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 11:53

Hier soir, en quittant du collège, alors que je discutais un peu avec deux collègues en regagnant le parking, j'ai commencé à ressentir un léger vertige qui ne fit que s'amplifier lorsque je fus rentré à mon domicile au point de voir les pièces tourner autour de moi et d'être pris de nausées et de vomissements accompagnés d'une sensation de froid.

Aucun médicament ne semblant faire effet, je dus me résoudre à appeler hier soir, vers 21h., SOS médecins.

Diagnostic: il semblerait que certains capteurs de l'oreille interne gauche se soient rompus suite à un mouvement apparemment trop brusque de la tête, ce qui aurait déclenché ces vertiges et ces nausées. Me voici donc en repos jusqu'à vendredi inclus, le temps que tout cela se remette en place avec ordre d'éviter de trop bouger la tête en attendant.

Quoi qu'il en soit, j'ai tout l'arrière-gauche de la tête douloureux ce matin et de temps en temps de retour bref de vertiges dès que je fais un mouvement trop rapide avec celle-ci.

Donc, repos forcé pour quelques jours.

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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 10:00

http://www.linternaute.com/savoir/magazine/dossier/archeologie-des-tresors-de-l-antiquite-a-arles/image/buste-jules-cesar-27494.jpg

Ah ma brave dame, on en apprend tout les jours dans ce pays, et je ne parle pas de la dernière affaire politico-médiatique du moment, mais des dernières avancées de la science historique, car s'il faut en croire les dires de X., grande spécialiste de l'Antiquité romaine malgré qu'elle ne soit qu'en classe de 6ème, l'homme dont le buste illustre cet article et qui n'est autre que le célèbre Caius Julius Caesar (Jules César pour les intimes), a été, tout bonnement, nommé gouverneur de Watherlio (mix de Waterloo et de Lio, sans doute !). Sans doute - on peut le supposer - en fit-il une morne plaine qu'il offrit ensuite à Monsieur Hugo pour qu'il y écrivît des poèmes !

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1 mai 2011 7 01 /05 /mai /2011 20:44

http://www.coastersworld.fr/news/images/divers-nico/BenJ-1251977942-rentree.jpg

Dès demain, c'est reparti pour un tour et on y croit pour cette dernière ligne qui nous ménera jusqu'en juillet.

Ou, du moins, on feint d'y croire ! mais c'est de plus en plus dur de se motiver pour monter dans ce train fou qu'est devenue l'Education Nationale.

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