Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 21:02

http://cache.20minutes.fr/img/photos/jdn/2012-11/2012-11-20/article_photo_1353431827901-1-HD.jpg

 

Beaucoup se demandent pourquoi les enseignants du primaire ont massivement fait grève contre la réforme des rythmes imposée depuis le sommet par Peillon.

 

Pourtant, les enseignants comme le ministre sont d'accord pour dire que la journée d'un élève de primaire est trop longue et qu'il faut la réduire, donc passer à 4,5 journées de cours. Alors, où est le problème ?

 

Hé bien, c'est qu'en fait, la réforme Peillon n'allège rien du tout, au contraire, puisque les enfants ne quitteront pas plus tôt: ils auront simplement une pause de midi allongée  et de multiples activités complémentaires (enfin, dans les grandes villes et les zones péri-urbaines) - et qui va les occuper pendant ce temps-là ? et ne risquent-ils pas de revenir ensuite, après une si longue pause de midi, encore plus excités en classe et donc dans un état peu productif ?

Pire, Peillon propose qu'on rajoute la demi-journée le mercredi matin, donc de supprimer la pause de milieu de semaine, pourtant si nécessaire au repos, alors qu'il eût été plus logique de rétablir les cours du samedi matin.

 

Oui, mais voila, le lobbying des parents d'élèves bobos proche du PS, ceux qui partent en we, qui ont la flemme de se lever le samedi matin parce qu'ils ne travaillent pas, ceux qui hurlaient au scandale parce qu'ils se voyaient déjà avec leurs mômes sur les bras plus tôt que prévu l'après-midi - comment l'école ne veut plus être la garderie la moins chère de France ? - ont tellement fait le forcing, qu'au final, les enfants passeront toujours autant d'heures à l'école, et même plus puisque qu'on a rajouté une demi-journée, et plus fatigués puisque cette demi-journée est placée de telle sorte qu'elle supprime le repos du milieu de semaine.

 

On comprend que les enseignants soient très remontés contre une réforme qui leur fait prendre des vessies pour des lanternes, et ne propose rien, contrairement à ce qui est affirmé, pour réduire la journée de l'écolier français. Les parents consommateurs d'école-garderie l'ont emporté sur toute autre considération.

 

Quant-à la Miss Hidalgo que j'ai entendu l'autre jour sur RTL, parlant avec un mépris et une suffisance où elle laissait sous-entendre à l'opinion que les profs ne voulaient pas le bien des élèves ! je lui conseille de rapidement revoir son discours hautain et d'enlever ses oeillères de bécasse socialiste répétant bêtement, comme une vulgaire blondasse sans idées, la phraséologie idéologique dictée par l'Etat-parti PS et de s'acheter d'urgence un cerveau capable de penser par lui-même (Hé oui, Madame, on peut être aussi méprisant que vous, ne vous en déplaise).

Partager cet article
Repost0
29 décembre 2012 6 29 /12 /décembre /2012 16:50

Ecrit en 1847, publié dans les Contemplations en 1856, ce poème sans titre est un hommage de Victor Hugo à sa fille Léopoldine, morte noyée en 1843 et dont il apprit la mort par les journaux alors qu'il effectuait son voyage annuel à travers la France avec sa maîtresse Juliette Drouet (on peut voir le manuscrit original en cliquant ici.

 

http://www.lepoint.fr/content/system/media/1/201002/84118_une-leopoldine.jpg

 

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Partager cet article
Repost0
26 décembre 2012 3 26 /12 /décembre /2012 21:13
http://blog.djailla.com/wp-content/uploads/2010/09/lundi-au-soleil.jpg
(pochette du 45t, sans doute l'une des photos, sinon la photo la plus célèbre de Claude François)
Après l'opus de juin 1972 qui avait plutôt été un bon album, celui de décembre semble marquer le pas malgré les titres-phares sortis en 45t, Le lundi au soleil et Belinda ce même mois de décembre et Celui qui reste, couplé avec Une fille et des fleurs en février 1973.
 
Sur l'album original, les titres sont rangés dans l'ordre suivant:
(Cliquer sur chaque titre pour y avoir accès)
 
- Le lundi au soleil (Patrick Juvet/Jean-Michel Rivat - Frank Thomas)
- Ninna Nanna (Patricia Carli/Jean-Loup Dabadie)
- Il n'y a que l'amour qui rende heureux (Jean-Pierre Bourtayre/Jean-Michel Rivat/Frank Thomas)
- On ne choisit pas (Janna et José Feliciano/Eddy Marnay)
- Soudain, il est trop tard (J. Capaldi/Eddy Marnay)
- Qu'on ne vienne pas me dire (Alec/Claude François/Michèle Vendôme)
- Bélinda (adaptation d'un titre anglais d'un certain Des Parton, interprété par The Boulevard, qui fut un tel four dans son pays d'origine que l'original, Miss Belinda, est quasi introuvable/Eddy Marnay)
- Une fille et des fleurs (B. Holland - L. Dozier - E. Holland/Jean Schmitt)
- Celui qui reste (Jean Fredenucci/Jean Schmitt)
- L'amour se meurt (Jacques Revaux/Gilles Thibaut)
- Mon mensonge et ma vérité (Jean Renard/Eddy Marnay)
- Tu as tes problèmes, moi j'ai les miens (R. Cook - R. Grennaway/Vline Buggy - Claude François).
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2012 2 20 /11 /novembre /2012 20:54

http://idata.over-blog.com/2/46/51/72//logo-stop-la-greve.jpg

 

Il m'ait déjà arrivé de dénoncer la vision archaïque de certaines représentations mentales restées sur des clichés passéistes associant la femme à la douceur et l'homme à la brutalité, dans une conception très "genrée" des rôles et considérant donc, en vertu de ce principe, que seuls les hommes sont capables de violence dans le couple.
Voici un article paru ce jour dénonçant l'hypocrisie de ces vieilles idées et appelant à prendre aussi en compte le problème des hommes battus, largement nié par la société.

"Les violences conjugales à l'encontre des hommes restent un « tabou de notre société », ont témoigné victimes et chercheurs hier, lors d'un colloque organisé par l'association SOS Hommes battus, appelant à une évolution des mentalités, en premier lieu dans la police et la justice.
Les violences conjugales concernent très majoritairement les femmes : elles sont trois fois plus nombreuses que les hommes à déclarer avoir subi des violences physiques ou sexuelles (1,84 % contre 0,64 %) au sein de leur couple en deux ans, selon l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales. Mais les hommes ne sont pas épargnés, rappellent associatifs et universitaires, qui évoquent un « phénomène sous-estimé, voire nié ».
« Le stéréotype de la femme victime domine. On attribue la violence aux hommes, la douceur aux femmes », souligne Catherine Ménabé, doctorante en droit pénal et sciences criminelles à l'Université de Lorraine.
Elle rappelle pourtant qu'une victime sur cinq de violences conjugales est un homme et qu'un homme décède tous les 10 jours en raisons des violences - physiques ou psychologiques - au sein de son couple.
Autre chiffre : 3 500 hommes ont déposé plainte pour violences conjugales en 2010, contre 16 000 femmes, selon Mme Ménabé, qui précise que les hommes portent peu plainte car « ils pensent que ça ne sert à rien », « ne veulent pas que cela ait des conséquences sur la garde des enfants » ou « ne veulent pas que ça se sache ».
« Si j'avais été un vrai homme »
Or ceux qui décident de porter plainte se heurtent très souvent à une indifférence des fonctionnaires de police et une partialité des magistrats, soulignent unanimement chercheurs, victimes et associations.
Pierre Bertrand, universitaire de 52 ans, victime de violences de la part de son ex-femme, se souvient du regard « goguenard » du policier auprès duquel il souhaitait porter plainte, après qu'elle l'ait très violemment mordu : « Il me faisait comprendre que si j'avais été un + vrai + homme, je me serais défendu », relate-t-il. « Mon avocate, elle, m'a conseillé de déposer une main courante ».
« Trois plaintes sur quatre déposées par les hommes victimes de violences sont refusées. Il n'y a aucune formation des policiers et des gendarmes », déplore Sylviane Spitzer, psychologue et criminologue, fondatrice de SOS Hommes battus, seule association française spécifique d'aide aux hommes.
« Au mieux, les hommes savent dans quels commissariats il faut aller, et dans lesquels il ne faut pas aller, pour que leur plainte soit prise en compte. Même chose pour les tribunaux », dit-elle, rappelant que 95 % des juges aux affaires familiales qui interviennent dans les procédures de divorce sont des femmes.
« Il y a une équité juridique, mais une discrimination dans la mise en pratique de la répression », constate Catherine Ménabé, qui appelle à une « évolution des mentalités dans toute la chaîne judiciaire ».
Les victimes soulignent aussi le manque d'information. « J'ai eu beaucoup de mal à mettre des mots sur les actes. Il m'a fallu dix ans pour comprendre que j'étais victime de violences » conjugales, souligne M. Bertrand.
Même le numéro d'urgence 3919 « Violences conjugales Info » n'est pas d'un grand secours, témoigne Olivier Besida de l'association SOS Papa, qui défend les pères en situation de divorce ou de séparation. « Les écoutantes sont des femmes, elles ne sont pas formées. La plupart du temps, on est renvoyé ».
« Ce qui est nouveau, c'est que les hommes commencent à en parler et qu'il y a des statistiques. »" (L'Union, 20/11/12)

Partager cet article
Repost0
17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 18:09

http://t0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQbxDs2iU3MMFgFYrQHpMBwzk5soIaEhJYze4SbqEsBfOYPCN4Gk--5enIL

 

Contrairement à ce que pourrait laisser croire la photo qui illustre cet article, nous sommes bien en l'an 2012 ... enfin peut-être pas pour tout le monde.

En effet, ce n'est pas un hasard si j'ai illustré cet article d'un vieux pc datant de Mathusalem car c'est exactement le genre de matériel dont on a osé nous doter depuis le début de l'année dans mon collège pour faire fonctionner en cours  l'ENT - fourni par Orange - (Espace Numérique de Travail pour les non-initiés, un truc où tu fais l'appel, remplis le cahier de texte, les notes, les appréciations, mets tes documents, communique avec les élèves et les collègues, as accès à nombre de ressources dont les manuels en ligne etc...) !

Issus, parait-il, des stocks de réforme du Conseil général, ce matériel flambant neuf est une véritable calamité, comme on s'en doute bien: certains écrans ne fonctionnent pas (très pratique depuis que l'appel des élèves se fait via l'ENT), d'autres plantent dès que vous voulez vous servir d'une application sans fermer la précédente, rament à mort avant de lancer le moindre truc (j'ai testé ... plus de 30 secondes avant que l'un de ces pc ne réagisse et concente à lire la vidéo sur ma clé usb), refusent de lire le moindre lien web placé dans "Mes documents" de l'ENT ou les vidéos en ligne du site.tv auquel le collège est abonné !

On se demande bien à quoi un ENT peut bien servir si on ne peut pas en utiliser toutes les fonctionnalités.

Le cahier de texte, quant-à lui, est un bijou d'usine à gaz: il y a tellement d'onglets à manipuler pour trouver quelque chose - imaginez en plus quand ça rame ! que personne ne s'y retrouve et, comble pour un cahier de texte, voir ce que vous avez fait à la séance précédente, relève de l'exploit du combattant !

Non, vous ne rêvez pas, vous êtes bien en 2012, mais juste à bord du Titanic Education Nationale.

Partager cet article
Repost0
6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 18:00

http://cache.media.education.gouv.fr/image/06_juin/83/0/Dictionnaire-des-ecoliers_181830.39.jpg

 

Pour ceux qui ne baignent pas de façon familière dans le monde de l'éducation, peut-être n'êtes-vous pas au fait de l'idéologie pédagogique dominante qui veut que l'élève soit acteur de son savoir, donc qu'il le construise lui-même.

Outre que ça exige des élèves ne rencontrant aucune difficulté scolaire majeure et donc capables de comprendre le sens et l'intérêt des documents divers qu'on leur soumet, ainsi que de faire le lien entre eux, cela suppose aussi parfois des capacités de synthèse, d'abstraction, de représentations du monde qui sont loin d'être acquis - et c'est normal -, par des élèves mineurs.

J'ose à peine vous laisser imaginer ce que cela peut créer comme problèmes à l'enseignant qui, ensuite, doit se "dépatouiller" avec l'immense masse informe qui sort souvent de ce genre de séances absolument peu porteuses, à moins d'avoir trouvé des documents assez simples pour poser des questions du genre: "quel est la couleur du cheval blanc d'Henri IV" (et vous seriez étonnés de voir qu'il y en a bien cinq ou six sur vingt-neuf qui ne savent pas!).

Alors quand avec tout cela, il faut faire de l'inductif, c'est-à-dire partir d'un cas particulier pour arriver à une vérité générale puis la nuancer ensuite, je vous laisse deviner.

Mais, bref, je m'égare et donc revenons à l'élève constructeur de son savoir car cette merveilleuse idée inspira la faleuse "secte des pédagogistes"  qui font la pluie et le beau temps au ministère; il y a quelques mois, ils lancèrent l'idée d'un dictionnaire dont les articles seraient rédigés par les enfants de primaire eux-mêmes.

Le site de 20 minutes, nous révèle le croustillant résultat de cette brillante idée à laquelle, le ministère vient de mettre brutalement fin sans tambours ni trompettes: Le dictionnaire des écoliers.

Si maintenant, vous n'avez toujours pas compris le problème posé par "l'élève acteur de son savoir" ... et j'imagine bien l'embarras des trois référents chargés de valider "quelque chose" face à ce qu'ils ont dû recevoir.

Partager cet article
Repost0
5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 20:24

Autant en emporte le vent n'est pas qu'un roman à la gloire du Sud confédéré, c'est aussi celui d'une femme lucide, Margarett Mitchell, qui avait sans doute une grande intelligence des gens, des situations et des choses, contribuant à donner du Sud une image plus contrastée qu'à l'ordinaire, comme en témoigne cet extrait:

" L'oncle Peter nous a pratiquement élevés, Mélanie et moi, car nous étions très jeunes quand mon père et ma mère sont morts. Vers cette époque-là, tante Pitty s'est brouillée avec son frère, l'oncle Henry, et elle est venue habiter avec nous. C'est l'être le plus incapable qui soit. C'est une grande enfant très gentille et l'oncle Peter ne la considère pas autrement. Si sa vie était en jeu, elle serait hors d'état de prendre la moindre décision, aussi est-ce l'oncle Peter qui prend toutes les décisions à sa place. C'est lui qui a déclaré qu'il fallait me donner plus d'argent de poche quand j'ai eu quinze ans et qui a insisté pour que j'aille faire ma licence à Harvard alors que l'oncle Henry voulait que je continue mes études à l'université. C'est lui qui a décidé que Melly était assez âgée pour relever ses cheveux et aller dans le monde. Il dit à tante Pitty quand il fait trop froid ou trop humide pour rendre ses visites et quand elle doit porter un châle... C'est le noir le plus intelligent que j'ai jamais vu et aussi le plus dévoué. Le seul ennui, c'est qu'il nous gouverne tous les trois, corps et âmes, et qu'il le sait."


Partager cet article
Repost0
4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 13:40

http://www.silence-action.com/wp-content/uploads/2012/03/cloclo-florent-emilio-siri.jpg

 

Certes le savent, je n'ai aucune passion particulière pour le genre dit "biopic"  (film biographique) et ce ne sont pas les très médiocres Harvey Milk ou La Môme dont j'ai déjà parlé ailleurs qui ont rehaussé mon estime pour ce type de films.

Aussi est-ce plein d'appréhension que j'ai fini par me résigner à regarder le film biographique sur Claude François réalisé par Florent Emilio Siri en 2011.

Disons-le tout de suite, tous les clichés agassants du genre sont là: personnages secondaires campés en un trait de plume caricatural ou servant d'aimables potiches qui apparaissent et disparaissent de la vie de l'artiste sans en connaître la raison, choix d'éléments dont certains virent au cliché à propos de l'artiste.

Malgré tout, et en dépit de cela, il faut tout de même le dire: Siri s'est plutôt bien tiré de ce genre "casse-gueule" qu'est l'exercice du "biopic", tout d'abord parce qu'il a essayé de construire une vraie histoire et a réussi, à partir de clichés sur l'artiste à réaliser un portrait tout en équilibre, ensuite parce qu'il n'a pas cédé dans le pathos facile à propos de la mort de l'artiste, enfin parce que son acteur principal, Jérémie Rénier, a vraiment réussi, en dehors de deux ou trois scènes de danse où il donne l'impression d'une "tapette sur l'estrade" (peut-être une volonté du réalisateur pour justifier les accusations d'homosexualité qui ont parfois traîné sur Cloclo), à rentrer dans un rôle qui n'était vraiment pas facile. Ca nous change de l'espèce de caricature que nous avait offert le si médiocre Poolvorde et finalement, ce biopic se laisse regarder sans que l'on voit le temps passer, ce qui n'est déjà pas si mal pour un genre, qui d'habitude, se signale plutôt pour les navets au kilomètres qu'il produit.

Partager cet article
Repost0
1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 19:57
Juin 1972 sort sans doute l'un des meilleurs albums (enfin, ce n'est que mon avis) de la carrière de Claude François, un album qui se situe clairement dans une double lignée, celle de la variété 70's et des rythmes issus de la Tamla Motown avec de nombreux titres français dont l'excellent et méconnu En attendant.
 

 

 
Sa sortie est précédée, ce même mois de juin 1972 par un 45 tours SP où figurent Y'a le printemps qui chante - En attendant.
Il fut suivi, en octobre d'un autre 45 tours SP avec Quand l'épicier ouvre sa boutique et Feu de paille.
 
.
Sur l'album original, les titres sont rangés dans l'ordre suivant:
- Y'a le printemps qui chante (Claude François - Jean-Pierre Bourtayre/Jean-Michel Rivat - Frank Thomas)
- Feu de paille (D. McLean - Eddy Marnay)
- Pourvu que je me souvienne du soleil (Jean-Pierre Bourtayre/Michèle Vendôme)
- Voleurs bohémiens (B. Stone/Pierre Delanoë)
- Merci, merci beaucoup (Alice Dona/Michel Mallory)
- Mais c'est différent déjà (B. Holland - L. Dozier - E. Holland/Eddy Marnay)
- En attendant (Claude François/Claude François/Michèle Vendôme)
- Quand l'épicier ouvre sa boutique (D. Vangarde/Frank Thomas)
- Je chante pour les gens qui s'aiment (S. Cook - R. Greenaway/Eddy Marnay)
- Elle est au bout de la nuit (Christian Gaubert/Pierre-André Dousset)
- Jésus Christ superstar (Webber - Ricce/Michèle Vendôme).
Partager cet article
Repost0
24 septembre 2012 1 24 /09 /septembre /2012 21:37
Novembre 1971 nous offre un nouvel album de Cloclo, le 2ème entièrement Flèche,
 
 
d'où sont sortis en 45 tours SP
- en novembre 1971: Il fait beau, il fait bon - Un jardin dans mon coeur
- en mars 1972: Un peu d'amour, beaucoup de haine - Stop, au nom de l'amour
Cet album marque une avancée supplémentaire de Cloclo vers la variété 70's, notamment avec le premier titre de l'album, l'emblématique "Il fait beau, il fait bon", même s'il continue, par ailleurs, à puiser aussi dans le stock de la Tamla Motown, ici avec une reprise d'un célèbre tube des Supremes devenu "Stop, au nom de l'amour". L'ensemble reste, tout de même inégal.
.
Sur l'album original, les titres sont rangés dans l'ordre suivant:
(Cliquer sur chaque titre pour y accéder)
- Il fait beau, il fait bon (R. Greenaway - R. Cook - A Hammond - M. Hazlewood/Eddy Marnay)
- Stop, au nom de l'amour (B. Holland - L. Dozier - E. Holland/Eddy Marnay)
- Plus rien qu'une adresse en commun (Michel Pelay - Alain Legovic plus connu sous le futur nom d'Alain Chamfort/Yves Dessca - Maxime Piolot) 
- Comme un jour nouveau (Jimmy Cliff/Michèle Vendôme)
- Aime-moi ou quitte-moi (N. Ashford - V. Simpson/Michèle Vendôme)
- En souvenir (Raymond Bernard/ Maurice Vidalin, fidèle collaborateur de Gilbert Bécaud; en 1977, ce titre est adapté en anglais)
- Un jardin dans mon coeur (C. King/Eddy Marnay)
- Combien de rivières (P. Spector/Eddy Marnay)
- Donne un peu de rêve (Edelman/Michèle Vendôme)
- Et je cours, je cours (J. Hubbard/Yves Dessca)
- Un peu d'amour, beaucoup de haine (Alice Dona/Michel Mallory)
- Et je ne pense plus à toi (G. Nash/Michèle Vendôme)
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de instantdinstants
  • : Instants d'instants est un blog à vocation généraliste abordant des thèmes variés (événements de la vie, actualité, musique, culture ...)
  • Contact


Recherche